Bulles en tête ... 6 bouteilles de champagne d'exception

Qui a dit qu’il ne se dégustait qu’aux fêtes ? Une fois les réveillons passés, le champagne reste une bonne idée : à l’apéritif en priorité, et tout au long du repas si le menu s’y prête.
Article rédigé par
Sylvain Ouchikh

Artistique

Au nez, ce nouveau millésime – dont l’étiquette a été confiée à l’artiste Anne Commet – dévoile des arômes de miel, de brioche, et des bulles d’une grande finesse. La finale est longue sur les agrumes, avec une pointe iodée.  

Blanc de blancs 2013, Champagne Bruno Paillard, 89 €.

Raffiné

Les chardonnays proviennent exclusivement d’une seule parcelle de Chouilly, en agriculture biologique. Un vin avec une vraie personnalité et une finale droite et enivrante.  

« Les Hauts Partas » 2015, cuvée blanc de blancs grand cru, Champagne Roger Coulon, 85 €.

Inattendu

Un champagne blanc de blancs (100 % chardonnay) avec des bulles très fines et un côté crayeux en bouche. Sur la finale, une belle salinité le rend aérien.

« L’inattendue » 2016, grand cru, Champagne Henriot, 110 €.

Exceptionnel

Sans aucun doute l’un des meilleurs champagnes rosés : densité et fraîcheur en milieu de bouche, longueur incroyable sur la finale, ponctuée de subtiles épices.

« Elisabeth Salmon » 2009, brut rosé, Champagne Billecart-Salmon, 190 €.

Attendu

Ce vin a passé dix ans en cave avant d’arriver sur nos tables. En version magnum, il délivre tous ses secrets : parfums d’agrumes, de brioche, et une finale persistante sur la fraîcheur.

« Cuvée D », millésimé 2009, Champagne Devaux, 145 € le magnum.

Intemporel

L’un des plus anciens Clos de Champagne est élaboré à partir de trois millésimes. Il est donc une ode à cette région qui fait communier les années et les millésimes, pour notre plus grand bonheur.

« Clos du Moulin », brut premier cru, Champagne Cattier, 130 €.

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