« Il y a cinq modèles de Gouttes d’eau renfermant le sel, le poivre, les beurres doux et salé, ainsi qu’une bougie, fruits de ma rencontre avec Laurent Beynes qui eut très vite cette belle idée ! Sur les tables, il y a aussi les assiettes Sourire de Virginia Mo, toutes différentes et pleines de peps. »
« Il y a plus de vingt ans chez le galeriste Jérôme de Noirmont, j’ai eu un coup de foudre pour l’une des toiles de Fabrice m’évoquant l’évasion, avec ses arbres et son cours d’eau. J’ai de nombreuses œuvres de lui. Au plafond de la bibliothèque, il a peint Effervescence. Je trouve ce titre très bien choisi ! »
« Mon grand ami a fait ce Chaud devant pour nos cuisines. Il y a des œuvres jusque dans les vestiaires. Un jour, un journaliste demande à un commis de salle : “Qu’est-ce que ça vous fait d’être entouré d’art ?” Et il sort cette phrase formidable : “Quand l’art rentre dans une maison, la violence en sort.” »
« J’ai tout de suite vu La Marche de l’Onde en scène, près de la porte. Les convives ne la remarquent pas forcément en entrant, mais la voient en sortant. Cette touche finale est tellement importante. J’aime la personnalité de Fabienne, son travail, ses rythmes. Il y a une force qui s’en dégage. »
« La première de ses œuvres m’a été prêtée par François Pinault. J’ai acheté la deuxième, ce diptyque au taureau à la Galleria Continua. Adel a été si touché qu’il m’a offert deux Coqs. J’ai accroché tous ses dessins dans l’un des salons du restaurant. Les réflexions des miroirs amplifient l’accrochage. »